– littérature

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De plume et d’ailes, 2024

Mai 2024, 204 p., EAN 9782721013118, AN 9782721013125

Éditions des Femmes

Présentation des éditions :

« Ella Balaert nous livre dans ce texte, malicieux et émouvant, ses réflexions sur les notions de masque, d’origine, de racines, d’identité.

De plume et d’ailes raconte 30 ans de vie sous pseudonyme de l’autrice, sous forme d’un abécédaire original dans lequel se croisent confessions autobiographiques, éclairages historiques, fiches pratiques, témoignages et réflexions. La forme courte du fragment permet de piocher ce que l’on souhaite dans ces petits textes. À partir de cas concrets, le sien ou d’autres, Ella Balaert s’interroge : pourquoi prend-on un nom de plume ?

De Romain Gary à Stendhal en passant par… Ella Balaert ! »

 

Accueil du livre :

« Un ABCDaire passionnant », M. Aïssaoui, Le Figaro littéraire

« J’ai été : Sidérée, éblouie, réjouie, passionnée, bluffée, réconfortée, instruite par ce texte brillant, pertinent, drôle, percutant, courageux…. » Eva Brunoy, Evanances littéraires

« J’aime beaucoup les livres d’Ella Balaert… J’aime son écriture … c’est tour à tour profond, plus léger et malicieux, fin, subtil. Tout ce qui fait de ce genre de livre un très bon livre », Yves Mabon, Lyvres

 » Variation pleine d’intelligence et de fantaisie autour du pseudonyme », Gaëlle Pairel, le matrimoine littéraire

« De tels livres font le tour de bien des cadrans » JP Gavard-Perret, L’internaute

 

Bibliographie – documents consultés

Argand Catherine (Lire),  01/09/1995 mis à jour le 16/08/2001 à 00:00 : « se faire un nom est naturel », entretien avec Élisabeth Roudinesco

Baillet Adrien, « Auteurs déguisés sous des noms étrangers, empruntés, supposés, faits à plaisir, chiffrés, renversés, retournés ou changés d’une langue en une autre » 1690, https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k123216q »

Bellaiche-Zacharie Alain, « Kierkegaard et Pessoa : pseudonymie et hétéronymie » , Revue des sciences philosophiques et théologiques, Vrin, 2009/3, https://www.cairn.info/revue-des-sciences-philosophiques-ettheologiques-

Bellet Roger « Masculin et féminin dans les pseudonymes des femmes de lettres au XIXe siècle »,  https://books.openedition.org/pul/864?lang=fr

Bourdache Achour, Lanseur Soufiane, « Le pseudonyme : reflet d’identité sur le web social ? »,  2021. ‌hal-03097417‌

Burgelin Claude, « Nom de famille, nom propre, pseudonyme. Rivalités assassines », in Le Roman contemporain de la famille, Coyault Sylviane, Jérusalem Christine, Turin Gaspard, (dir.), La revue des Lettres Modernes, 6/1/2016

Burgelin Claude, « Les mal-nommés », Le Seuil

Causse Jean-Daniel, « Kierkegaard et le pseudonyme, une figure de la vérité», Études théologiques et religieuses, https://www.cairn.info/revue-etudes-theologiques-etreligieuses-

Céry Loïc, « Saint-John Perse, le poète aux masques ». entretien avec Marcos Vittoria, « La Musica en la Noche », 30 avril 1961

Collectif : « Le nom », Corps écrit n° 8, PUF, 1983

Collectif, dir Martens David, « La pseudonymie dans la littérature française », Rennes, Presses universitaires de Rennes, 2016.

Decout  Maxime: « Des faux-papiers en règle » in  Raison présente N° 208, pages 103 à 114 (2018), https://www.cairn.info/revue-raison-presente-2018-4-page-103.htm

Detambel Régine, « Tuer la fille », in Nomadisme des romancières françaises contemporaines de langue française, Audrey Lasserre et Anne Simon, Presses Sorbonne Nouvelle, 2008, https://doi.org/10.4000/books.psn.1808.

Dillou Jean-François, « Pseudogynies hétéronymiques », Le Seuil « Poétique », 2010/2 n° 162 https://www.cairn.info/revue-poetique-2010-2-page-177.htm

Durand-Guiziou, Marie-Claire, « L’onomastique, l’onomaturge et le roman », biblioteca filolóxica galega i instituto da lingua galega 1 actas do xx congreso internacional de ciencias onomásticas. santiago, 1999. a coruña, 2002: 1673-1682

Emerit Laetitia, « Vers une typologie des pseudonymes sur Internet »,  Premier Colloque IMPEC : Interactions Multimodales Par ECran Juillet 2014 http://impec.ens-lyon.fr

 Fehlmann Maribel. De la valeur magique du pseudonyme sur internet. In: Nouvelle revue d’onomastique, n°52, 2010. pp. 263-275

Foucault, Michel, « Qu’est-ce qu’un auteur ? », Dits et écrits, t. 1,  Gallimard 789–821, éd. 1994

Gary-Prieur Marie-Noëlle, « Le nom propre constitue-t-il une catégorie linguistique ? » In: Langue française, n°92, 1991, Syntaxe et sémantique des noms propres. pp. 4-25; https://www.persee.fr/doc/lfr_0023-8368_1991_num_92_1_6209

Gestern Hélène, « Ajar/Gary : vertiges », Autobiosphère, https://autobiosphere.wordpress.com/2020/04/30/ajar-gary-vertiges-h-gestern/

Grévisse, Le bon usage 12, 1986, § 451

Guibert Noëlle, Revue de la Comédie-Française, n°189 , (février 1991), p. 23

Heilly (Georges d’) Dictionnaire des pseudonymes, recueillis par Georges d’Heilly. 2e édition, entièrement refondue et augmentée E. Dentu, 1869

Huttenberger-revelli Charlène, Stendhal, « Stendhal, un écrivain masqué : Du dandy au misanthrope » Université Toulouse-Jean Jaurès, PLH-ELH, (Lettre à sa sœur de 1803)

JO du Sénat du 06/06/2013 – page 1692, « Mention du pseudonyme sur les passeports »

JO du Sénat du 21/11/2013 – page 3389, réponse du Ministère de l’Intérieur

JORF n°0195 du 22 août 2008 page 13145, L’état civil des enfants mort-nés

JORF 3 juillet 1992, ’article 113-6  Code Propriété intellectuelle :  Création Loi 92-597 1992-07-01 annexe 2

Kristol Andres Max, « Motivation et remotivation des noms de lieux: réflexions sur la nature linguistique du nom propre », Rives nord-méditerranéennes [En ligne], 11 | 2002, mis en ligne le 21 juillet 2005

Kuczynski Liliane. « La dictature du nom. Du patronyme au pseudonyme chez les marabouts africains de Paris » In: L’Homme, 1997, tome 37 n°141. pp. 101-117; https://www.persee.fr/doc/hom_0439-4216_1997_num_37_141_370204

Lapierre  Nicole, changer de nom, Gallimard 2006

Laugaa Maurice, La pensée du pseudonyme, 1986, PUF, coll « Écriture », p244

Martens David, (2019), « Un mode de signature minoritaire : pseudonymie et différences sexuelles (George Sand & Marie d’Agoult / Prosper Mérimée Pierre Louÿs) ». Mémoires du livre / Studies in Book Culture, 11(1). https://doi.org/10.7202/1066944ar

Martin Marcienne, Se nommer pour exister. L’exemple du pseudonyme sur l’internet. Paris, Éditions l’Harmattan. 2012

Mathieu Jean-Claude, « Le poète renait Char », Corps écrit n° 8, PUF, p138

Naudin Christophe, « Identités criminelles », PUF, Questions judiciaires, 2015

Ntaombaye Philippe, « Quel est le sens des noms que nous, Burundais, portons? » https://www.yaga-burundi.com/2019/quel-sens-noms-burundais-portons/

Offner Bernard, Au jardin des pseudonymes, 1957

ØstenstadInger « Quelle importance a le nom de l’auteur ? » https://doi.org/10.4000/aad.665

Paveau M.-A., 26 août 2012, Linguistique et numérique 4. Les écritures de Protée : identités pseudonymes, La pensée du discours [carnet de recherche],http://penseedudiscours.hypotheses.org/?p=10057,

Perea François, « Pseudonyme en ligne, Remarques sur la vérité et le mensonge sur soi »

Éditions de l’Association Paroles, « Sens-Dessous »,https://www.cairn.info/revue-sens-dessous-2014-2-page-15.htm

Perreau Yann, Incognito, Grasset

Pierquin de Gembloux Claude-Charles, ses 34 noms de pseudonymes sont cités par Maurice Laugaa

Planté Christine, « Qu’est-ce qu’un nom d’auteur ? » in Revue des sciences sociales de la France de l’Est, N°26, 1999, numéro sur « L’honneur du nom, le stigmate du nom », pp. 103-110; https://www.persee.fr/doc/revss_0336-1578_1999_num_26_1_3190

Pommier Gérard, « Le nom propre, Fonctions logiques et inconscientes »,  PUF, 2013

Poulet Elisabeth, Les doubles de Monsieur Personne – Fernando Pessoa (2006) in La Revue des Ressources. 

Protestinfo (agence de presse des églises réformées de Suisse romande), « Kierkegaard et ses pseudonymes », https://www.reformes.ch/201305156460/6460-kierkegaard-et-ses-pseudonymes.html

Quérard Jean-Marie, « Les supercheries littéraires dévoilées » 2è édition 1865, Gallica

Quérard Jean-Marie, « Les auteurs déguisés de la littérature française du XIXème siècle », 1845

Ruchon Catherine, « Les maternités douloureuses dans les discours numériques », Communication & langages 2015/4 (N° 186), pages 117 à 132.

Saint-Pierre Martine, « Le bruit des noms », 1987, Études françaises, 23(3), 99–112. https://doi.org/10.7202/035730ar

Sélom Mensah C, https://www.afrik.com/prenoms-africains-l-originalite-ashanti,

Site du Sénat : https://www.senat.fr/rap/l01-244/l01-2441.html

Starobinski Jean, « L’œil vivant », Stendhal pseudonyme, p.  248. 

Steiner Olivier : « Olivier Steiner par Jérôme Léon…et le contraire… » http://www.autofiction.org/index.php?post/2014/04/09/Olivier-Steiner-par-Jerome-Leonet-le-contraire

Testenoire Pierre-Yves, « Le nom propre en débat au tournant du siècle, (Whitney – Bréal – Saussure) », ERIAC, Université de Rouen

https://www.google.com/url?sa=t&source=web&rct=j&opi=89978449&url=https://www.linguistiquefrancaise.org/articles/cmlf/pdf/2008/01/cmlf08040.pdf&ved=2ahUKEwjixYWtteWFAxWBfqQEHbh4AaMQFnoECBYQAQ&usg=AOvVaw1DoOu5sJu64GpCSCUL7Tjj

Toussaint Yves, Voile et simulacre sur les messageries, in Réseaux, volume 7, 1989

Tristan Frédérick,  entretien avec Jean-Didier Wagneur, Libération, 1er juin 2000.

Wilmet Marc, « Le nom propre en linguistique et en littérature », Académie royale de langue et de littérature françaises de Belgique, 1995, www.arllfb.be

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De plume et d’aile, parution 2 mai 2024

« Un ABCDaire passionnant »

Entretien et article signés Mohammed Aïssaoui dans le Figaro Culture du jeudi 25 avril 2924

https://www.lefigaro.fr/livres/gary-sagan-makine-pourquoi-des-ecrivains-prennent-ils-un-pseudonyme-20240420

« Variation pleine d’intellligence et de fantaisie »

En résidence

Ma résidence en Région Centre- Loire avec l’agence du livre Ciclic et l’association Tu Connais la Nouvelle s’achève en cette fin février 2024.

Cinq mois de rencontres passionnantes, au Musée des Beaux Arts d’Orléans, à la maison Max Ernst et Dorothéa Tanning de Huismes, avec les artistes abraysiens. D’ateliers d’écriture avec des adultes et des lycéens. De rencontres discussions, de lectures, de bars à textes, avec les libraires du Temps Retrouvé (Olivet) et des Temps Modernes (Orléans), les médiathécaires de St Jean de Braye et d’Olivet et le théâtre Clin d’œil.

De retour à Orléans le 18 avril à la Librairie Les temps Modernes.

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Réel, irréel, surréel

Dans le cadre de l’année commémorative du Manifeste du surréalisme (1924), je propose une conférence sur « La femme surréaliste »: l’occasion aussi de préciser la part de l’héritage surréaliste dans mon travail personnel.

Conférence faite à la maison Max Ernst et Dorothéa Tanning (Huismes) dans le cadre du festival ArTchipel et à l’invitation de Ciclic – région Centre Loire, Dominique Marchès et Tu Connais la Nouvelle

Possibilité d’intervention sur ce sujet en lycée, librairies, médiathèques : m’écrire via le formulaire de Contact.

« Passe, passe, passera »

Texte à lire et écouter ici :

https://www.lartenchemin.com/les-auteurs-2023.html

Écrit pour L’Art en chemin 2023, Pas.sage , sous le marrainage de Danielle Sallenave

Le contrat, 2022

Éditions des Femmes, 400 p. , Février 2022, EAN 9782721009364, Ebook, EAN 9782721009371

Prologue : 1944, Avranches, tandis qu’on fête la Libération, une jeune fille, Marie-Madeleine, se fait violer par un soldat : neuf mois plus tard, l’enfant conçue ce jour-là est confiée à l’assistance publique.

Le roman se passe de nos jours. Marie-Madeleine, pivot du récit, va vers ses 90 ans. Elle est devenue une vieille dame impudente et truculente, excentrique et indigne, amatrice d’opérettes, pleine d’humanité et d’empathie pour ses semblables sous ses allures un peu cassantes. Comment a-t-elle surmonté l’épisode de 1944 ? Comment fait-on de la vie qu’on reçoit et parfois qu’on subit, une vie pleinement vécue ?

Autour d’elle, gravitent plusieurs personnages : Christophe Lambert, dandy fondateur des éditions Thanatographes, spécialisées dans les derniers textes de leurs auteurs, qui demande à Jeanne Boucher, poète, de lui confier son dernier manuscrit – à condition de renoncer ensuite à écrire. Jeanne Boucher acceptera-t-elle de signer ce contrat faustien en diable ? Nadège, une actrice attachée à sa liberté, qui travaille pour un énigmatique et ténébreux réalisateur, Achard Lebrument, dont une web série enchante Gwénaëlle, la petite-fille de Marie-Madeleine, véritable joie de vivre incarnée.

Plusieurs contrats sont à signer – sans compter celui passé avec lecteurs et lectrices.

Qui signera ? Qui mourra ? Qui rira le dernier ?

Récit des origines, Le Contrat est un roman baroque à multiples facettes, miroirs, chausse-trappes et faux semblants, qui poursuit la réflexion de son autrice sur notre monde comme Théâtre – et sur les pouvoirs de la Fiction.

 Réactions

Coups de cœur de libraires :

Le Contrat, dans la Sélection Prix des libraires Payot 2022 ( «Littérature francophone») : Yann Courtiau : « un fabuleux roman… ce fut une véritable Expérience de Lecture (j’insiste sur les majuscules » https://www.payot.ch/…/le_contrat-ella_balaert…&

« Énorme coup de cœur, Ella Balaert nous émerveille une fois encore avec un roman incroyable… écriture enivrante au suspense prenant » Librairie Les Yeux qui pétillent , Valenciennes :

« Une écriture si puissamment émouvante et sensuelle que les larmes affleurent… Un roman magnifique, puissant et surprenant » Librairie Par mots et Merveilles, Maubeuge

 » Un jeu de piste littéraire rocambolesque fascinant … avec beaucoup d’amour, une bonne dose d’humour et juste ce qu’il faut de macabre pour cette comédie humaine au rythme enlevé. » Librairie Le Bateau-livre, Lille

« C’est littéraire, c’est fantastique, c’est punchy ! Un vrai régal », Librairie des Fables, Château-Thierry

« Le Contrat … pose plein de questionnements. C’est écrit de manière assez fabuleuse .. un vrai auteur  » Martine Szafranski, Librairie d’Avranches (28:02)

Autres réactions :

Maxime Decout, Diacritik : « 

« Le Contrat met à l’honneur les pouvoirs de l’imposture littéraire (…) Seule la fiction qui trompe son lecteur de manière désintéressée, le forçant à questionner la fragile frontière entre vérité et mensonge, entre réalité et fiction, s’impose au bout du compte. Et cela, pour notre plus grand plaisir de lecteur. » https://diacritik.com/2022/06/17/un-contrat-peut-en-cacher-un-autre-ella-balaert/, juin 2022

Jean-Philippe Domecq, SingularS : « tout est cohérent et s’impose en jeux d’échos entre les êtres et les destinées, le tout mû par une écriture d’une rare souplesse, d’un ton qui vous chante familier aux tempes », https://singulars.fr/agenda/litterature-ella-balaert-le-contrat-placement-libre-editions-des-femmes-antoinette-fouque?fbclid=IwAR3Y7D2FKEORvU-Cldb6ZG-DMJ7MPuPDbB18fyGxBM_xfIJ1IJJFPUc1aXo Juin 2022

Dominique Lancastre, Pluton Magazine :  »Roman d’une très grande originalité qui nous captive dès les premières pages » https://pluton-magazine.com/2023/12/22/entre-les-lignes-b-le-contrat-della-balaert/?fbclid=IwAR0m9NUStek2hP9G6lXVdK1iEnvVE2UZcWojn2VJ3fppInm3neewqpxk0ls décembre 2023

Livres Hebdo, « Dans Le contrat d’Ella Balaert, le personnage principal hésite à publier son prochain roman aux Éditions Thanatographes, serait-elle en train de signer son arrêt de mort? »

JP Gavard-Perret, Le littéraire.com, Il y a là du Colette, du Madame de Sévigné ou de l’Édith Wharton  »

Yves Mabon : « Les personnages, le style, la construction, tout concourt à faire de ce roman l’un des plus beaux que j’ai lus récemment, et si vous ne devez lire qu’un livre de cette rentrée littéraire de janvier, c’est celui-ci ! »

D. Baillon, Écritures vagabondes : « Porté par un style impeccable et élégant… entre comédie et tragédie, le nouveau roman d’Ella Balaert, aussi cultivé que facétieux, enchante. Un livre profond, plein de rebondissements et d’émotions à découvrir absolument ! »

Christine Bini, https://christinebini.blogspot.com/search?q=balaert : « Sous la tutelle de la lune, et sur fond de retournement narratif, Le Contrat offre tout un éventail d’émotions : amour, humour, tendresse, surprise, espoir…   »

Diane Lenglet, La Voix du Nord:  » Ella Balaert nous transporte et on dévore son livre comme si c’était le dernier »

Annie Forest, L’écritoire des Muses : « roman novateur où cohabitent une pluralité de voix et d’actions… texte très fort d’une immense qualité »,

On peut le  trouver en librairie :

ou le commander en ligne (LaLibrairie.com,  Leslibraires.fr  sites  de commande des libraires indépendants,  Decitre, Fnac etc )

ou encore sur le site des Éditions des Femmes 

Première partie : le chant du cygne

Schubert, Le chant du cygne (Sérénade, D.957,n°4)
℗ A Warner Classics/Erato release, 1993,
Soprano : Barbara Hendricks
Piano: Radu Lupu


Deuxième partie : le couplet du canard (L’île de Tulipatan)

Orchestre Lyrique et Chœurs de la RTF , dir. Marcel Cariven, 2015, Label Malibran

Troisième partie : le silence du phénix